On s’en est fait des frayeurs pendant les années 1980, quand on se demandait qui des Américains ou des Russes allaient dégainer l’arme atomique en premier. On n’y a échappé belle, en fait.
Mais dans certaines rues de Berlin, on est en droit de se demander si l’apocalypse n’a pas déjà eu lieu, tant les bâtiments sont dégradés.
Au Musée juif, l’architecte Daniel Libeskind a pris le parti d’utiliser le béton brut et le métal pour transmettre le sentiment de désespoir des victimes de l’Holocauste. L’effet est saisissant. On croirait être dans un bunker.
Articles sur le même sujet :
Publication précédente
Architecture berlinoise 2 - portes
Publication suivante
La playlist de mai 2021