On avait découvert Birkii sur la compilation Kitsuné Parisien avec le titre Shade of doubt. Sans surprise, il s’agit d’un projet électro pop parisien, celui d’une jeune artiste dont on ne sait pas grand-chose, si ce n’est qu’elle est une ancienne violoniste classique et qu’elle est fan de Séverin (cf. Les Zindés) et de Sébastien Tellier (cf. You’s).
Birkii remet ça sur la compilation Kitsuné Parisien II avec la chanson Holy War, produite par Anoraak. Au programme : nappes de synthé eighties, accent frenchy incompréhensible, chaperon à la Gaggle/The Do. Et c’est bien.